En 1989 à Paris, l’Institut National des Sports et de l’Education Physique (pépinière des champions français) connaît peu les apports à la performance sportive de la psychologie clinique et de la psychanalyse.
Grâce à la compréhension de son médecin directeur, je peux introduire ces approches dans le saint des saints du sport français qui recherchait jusqu’alors davantage l’efficacité immédiate et contrôlable de la psychologie expérimentale, ou cognitive.
Révéler, comme facteurs facilitant les objectifs de la très haute performance, la qualité humaine de l’acteur sportif, et surtout l’harmonie émotionnelle profonde, non visibles par la gestuelle, fait ma notoriété auprès du grand public.
Cette notoriété, à son apogée au moment des JO de Barcelone de 1992 (voir les 2 portraits : dans Newsweek et Science et avenir), est confortée par une reconnaissance universitaire de mes travaux : je soutiens en 1993 une thèse de Doctorat d’Etat en psychologie clinique sur le thème du haut niveau sportif.
Depuis, même si elle fluctue, cette considération est toujours active, comme en témoignent en octobre 2008, mes deux dernières interviews pour Femme Actuelle et Le Parisien et ma tribune dans la revue scientifique Sport et Citoyenneté..
Vous pourrez retrouver ci-dessous mes interventions publiques dans la presse, à la radio, à la télé.
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